Il n'est, de chaussons abandonnés
Que de rêves promenés,
Éparpilles à l'horizon dévasté
Du feu des mirages, soufflés !
Que de rêves promenés,
Éparpilles à l'horizon dévasté
Du feu des mirages, soufflés !
Il n'est de retour, entre paupières, perlé
Qu'un feu de joie aux cendres jetées,
Virevoltantes, au gré des mots glissés,
Suintantes des maux injectés !
Qu'un feu de joie aux cendres jetées,
Virevoltantes, au gré des mots glissés,
Suintantes des maux injectés !
Jetée au mur de l'incompréhensible,
Tabassée d'une vague à peine audible,
Fouettée par le poids de l'inamovible,
Mais écraser du pied, l'ombre de l'intangible !
Tabassée d'une vague à peine audible,
Fouettée par le poids de l'inamovible,
Mais écraser du pied, l'ombre de l'intangible !
Enveloppée d'une nappe de brouillard
Quand, du passé, se voile le regard,
La traverser pour affronter l'immuable,
Qui natte, sur votre route, le divin et l’inéluctable.
Quand, du passé, se voile le regard,
La traverser pour affronter l'immuable,
Qui natte, sur votre route, le divin et l’inéluctable.
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